Dès les années 60 il participe au courant artistique de « l’École de Paris »et expose dans les différents salon dédiés à la sculpture, qui se tiennent dans les hauts lieux culturels de la capitale : Musée Rodin, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Grand Palais, Musée du Luxembourg, Musée
Bourdelle, Parc Floral de Vincennes, Espace Cardin, Centre américain, Institut culturel italien…

• Salon d’Art Sacré
• Salon de Mai
• Salon d’automne
• Salon des Indépendants
• Salon de la Jeune Sculpture
• Salon Réalités Nouvelles
• Salon International de l’Art Libre
• Salon Comparaisons,
• Salon Grands et Jeunes d’aujourd’hui,
• Exposition Internationale du Petit Bronze
• Formes humaines
• Petits bronzes
• Sept propositions pour le métal
• Artistes italiens de Paris

Durant ces mêmes années, son œuvre est présente dans les nombreuses expositions consacrées à la sculpture par les galeries d’art et musées à Paris et autres villes de France, de même qu’à l’étranger.

Les Etats-Unis et la galerie Knoedler

Fin 1961, Storel expose l’ “Athlète”, sculpture en fer forgé, à la Biennale de Paris qui se tient au Musée d’art moderne.
LIonel Preiger, un des directeurs de la nouvelle Galerie Knoedler, qui va bientôt ouvrir ses portes rue du Fauboug-Saint-Honoré, achète l’ « Athlète » pour l’exposer le jour du vernissage.

La sculpture est vendue à Joseph Hirshhorn, grand collectionneur américain d’oeuvres d’art, et de sculptures en particulier.
Elle sera ensuite exposée en 1963, au Guggenheim Muséum de New York (Collection Joseph Hirshhorn, N°426)

Pendant dix ans, la galerie, accrochant dans ses cimaises de grands noms : Braque, Chagall, Dali, Olivier Debré, De Kooning, Gorky, Hajdu, Lanskoy, Lardera, Miro, Henry Moore, Barnett Newman, Nicolas de Stael, Nolde, Pereire, Picasso , Poliakoff, Rosenthal, Soulages, Bram Van Velde, Vieira da Silva – exposera les œuvres de Storel et lui assurera une diffusion internationale, notamment aux Etats-Unis

1962 : Storel est sélectionné pour le Concours international de Saint-Gobain

Le jury composé de

• Giaccometti,
• Zadkine,
• Michel Seuphor,
• et le peintre Singier attribuera le prix au sculpteur Marino di Teana.

1964 : Storel obtient son premier atelier dans une impasse au 199 rue d’Alésia, mitoyen de celui de Diego Giacometti.
Il ne quittera plus ce quartier de Montparnasse où il fait la connaissance d’Alberto Giacometti, Zadkine, des critiques d’art Michel Seuphor et Waldemar Georges, et de Denys Chevalier, créateur du salon de « La Jeune Sculpture ».

1967 : Première commande en France d’un monument  pour la Ville d’Épinay-sous-Sénart,

qu’il réalisera dans un atelier en Italie, compte tenu de sa taille. ( 350 x120 x 60 cm )

 

Les collectionneurs et Storel

Certains collectionneurs  qui ont connu l’œuvre de Storel par la Galerie Knoedler se lient d’amitié avec l’artiste et, après la fermeture de celle-ci en 1972, lui rendront visite à son atelier lorsqu’ils viennent à Paris.
Tel fut en particulier le cas pour Joseph Hisrhhorn, Neiman Marcus et Ralph O’Connor.
Et en 1980, Storel se rendra aux U.S.A pour rendre visite à certains d’entre-eux et revoir ses sculptures.

Principaux collectionneurs de Storel aux U.S.A

Joseph et Olga Hisrhhorn

 

Ralph O’Connor

• Ira Lowe, Washington
• Ralph O’Connor, Houston
• Mark Abendshein, Houston
• David et Jan Bean, Houston
• Manny Sanchez, Houston
• James A.Elkins, jr, Houston
• Neiman Marcus, Dallas
• Peter Goulandris, New York
• Sidney Kaplan, New-YorkEzra Zilkha, New-York
• Mr. Zeiler, New York
• Gallery Loeb – Rye, NewYork
• Mrs. Israel, Los Angeles – Californie
• Marvin Sears, Enrico – Californie
• Willow Dale, Ontario
• Charles Kohlmeyer, New Orleans